Telle est la conclusion d'une étude mise en place par une équipe de chercheurs informatiques, ingénieurs et
psychologues.
Certains usages du net pourraient être corrélés à une propension à la dépression. Sont concernés, par exemple, les adeptes du zapping d’un site à l’autre ou les les boulimiques de mails et des chats (soit une bonne partie d’entre nous !).
Dans une
époque où la dépression est une triste monnaie courante, cette enquête nous
donne un espoir. Celui de déceler « une tendance dépressive plus
tôt, avant le diagnostic clinique, mais peut-être avant même que le malade
lui-même ne s’en rende compte ». Et qui dit prévenir dit guérir non ?
Certains usages du net pourraient être corrélés à une propension à la dépression. Sont concernés, par exemple, les adeptes du zapping d’un site à l’autre ou les les boulimiques de mails et des chats (soit une bonne partie d’entre nous !).
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